Inspiré du “phénomène walkman” de Barry Truax, ce travail crée une ambiguïté de localisation sonore en plaçant l’auditeur dans une série d’environnements sonores hyper-réels. Les sons du monde réel ne sont plus liés à leurs mécanismes d’origine et des sons synthétiques deviennent cohérents avec des espaces sonores réalistes. Locus utilise une série d’enregistrements “de terrain” dans les allées de Melbourne à l’aide de microphones binauraux.
La lecture de ces enregistrements par le biais des haut-parleurs (et non au casque) obscurcit encore le sens de l’espace des auditeurs.
2010-11, création - durée: 6 minutes 56 - configuration : 5.1
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Les travaux récents de Lizzie Pogson comprennent
une installation sonore multicanal basée sur des ultrasons
à la First Site gallery (Melbourne), une oeuvre
pour le «Circus Music” au Festival International de
Musique de Melbourne, et une interprétation avec
Philippe Samartzis dans le cadre du festival JOLT à
Westspace gallery. En complément de sa recherche musicale proche des arts plastiques, Lizzie Pogson est violoniste classique au sein de nombreux orchestres à travers l’Australie. |
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